Au 28, Barbary Lane,
Mary Ann, venue de Cleveland, poursuit depuis six mois "son
initiation, tantôt glorieuse, tantôt harassante, dans cet univers
aventureux qu'était San Francisco". Tous les locataires sont
devenus ses amis, en particulier Michael, dit Mouse, qui, comme elle,
cherche l'homme de sa vie. Ils entreprennent ensemble une croisière
au Mexique qui leur permettra, après bien des tribulations, de
réaliser tous les deux leur rêve. Mais ce deuxième épisode du
feuilleton d'Armistead Maupin contient une révélation de taille.
Mme Madrigal, l'adorable logeuse, qui s'efforce contre vents et
marées, d'assurer le bonheur de son étrange famille recomposée,
est en fait le père d'une de ses locataires. Cette histoire de
transexualité et une affaire plus obscure de transsubstantiation à
laquelle se voue une inquiétante secte religieuse sont les ressorts
de ce nouveau volet d'une comédie humaine qui plaide avec humour en
faveur de la tolérance et du respect mutuel.
-----Mon avis-----
Souvenez vous, ma lecture du premier tome avait été un vrai coup de ❤ pour le livre bien sûr mais surtout pour le panel de personnages que nous dépeint Armistead Maupin dans ce San Francisco des années 70.
A la suite de ma lecture du tome 1, j'ai voulu très vite lire le tome 2. C'est le genre de livre dans lequel vous plongez et duquel vous ne pouvez plus lever le nez.
Et quel bonheur de retrouver enfin toute la bande du 28 Barbery Lane! Dans ce tome 2 nous suivons nos personnages préférés dans d'autres aventures tout aussi drôles, touchantes... Ce tome n'est pas exempt de nouvelles révélations sur ces personnages que l'on a appris à aimer. On rit toujours, on est émus et l'attachement aux personnages se fait de plus en plus fort.
Pour moi cette saga est en passe de devenir une saga chouchou et je ne pourrai que vous recommander de plonger dedans au plus vite ! J'ai déjà hâte de me procurer le tome 3 mais je me laisse un peu de temps car vu à la vitesse à laquelle j'ai dévoré le tome 2 je risque de dévorer le reste de la série comme des petits pains et me sentir comme orpheline une fois que j'aurai fini ...
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